LA RUCHE
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Les dix moyens de protection Contre le mal des jaloux, des sorciers, des envieux, du mauvais œil et du weswesse du Démon

Dans ce petit livret tiré du livre "la protection divine", Ibn Qayyim réunie des moyens et des protections qu'il a tirés du Coran et de la Sunna du Prophète, et les mets à la disposition des fidèles, afin qu'ils se protègent contre le mal des humains et du monde subtil

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La Vie Du Musulman Entre La Crainte Et L'espoir

La vertu de toute chose consiste avant tout pour le croyant à l'aider à rechercher et atteindre le bonheur qui n'est autre que la proximité et la rencontre de Dieu. Or la crainte révérencielle de Dieu est l'une des stations spirituelles qui peut conduire à ce bonheur lorsqu'elle est bien assumée. En effet sans crainte révérencielle de Dieu l'œuvre du croyant rate l’essentiel ; elle est gravement menacée et risque même d'être viciée à la base…

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Ce petit livret est tiré de l'œuvre de Ibn Qudama, Mukhtassar minhaj al qasidine (Concis de la voie des postulants), lui-même tiré de Ihya 'Ulum d-din du grand imam, Hujjatu-l-islam, Abou Hamid Al Ghazali. Ce maître spirituel réputé pour la profondeur de ses analyses sur l'âme humaine, apporte de précieux remède pour amener le fidèle à purifier son nafs et la débarrasser de tout caractère blâmable

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Ce petit livret est tiré de l'œuvre de Ibn Qudama, Mukhtassar minhaj al qasidine (Concis de la voie des postulants), lui-même tiré de Ihya 'Ulum d-din du grand imam, Hujjatu-l-islam, Abou Hamid Al Ghazali. Ce maître spirituel réputé pour la profondeur de ses analyses sur l'âme humaine, apporte de précieux remède pour amener le fidèle à purifier son nafs et la débarrasser de tout caractère blâmable.

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Sache que les âmes sont de trois sortes : Une âme instigatrice du mal, une âme qui ne cesse de se faire des reproches et une âme apaisée. Parmi leurs défauts, le fait que le serviteur obéit à Dieu mais ne trouve aucun plaisir dans son obéissance en raison de la duplicité qui s'y mêle. On ne peut revivifier son âme que si on la mortifie et si on l'use, c'est-à-dire qu'on ne peut la revivifier pour la vie future que si on l'anéanti dans la vie d'ici-bas…